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par Dolorès Soleymieux
Qui accepte d’agrandir sa conscience en accordant ses pensées à ses émotions en un acte positif révélateur de Sa Grandeur pour se permettre de lâcher, guérir « la culpabilité » ?
Vous, en démasquant la partie de vous, non révélée à vous-même qui sait que ce sont ses envies, ses objectifs qui lui font oublier la valeur Humaine et qui en conscientisant, acceptant et comprenant cela permet que la guérison s’instaure en elle et apporte légèreté en œuvrant à : "VIVRE".
A ce jour vous rencontrez peut-être des difficultés à assumer qui vous êtes, comment vous fonctionnez, comment vous vivez, vos choix, certains actes, certaines paroles… parce que l'incompréhension de l'autre, des autres, s'interpose entre vous et eux… et cela occasionne des jeux d'adaptation, des "mal-être" dans le relationnel, de malaises, frustrations, peurs, des désamours.
Cependant, il est possible d'être heureux(se), d'être soi en se respectant et en respectant l'autre, les autres.... et que les autres, l’autre vous respecte.
Il est possible de lâcher sa "fadeur" et de "briller" de sa coloration. "rebondir et évoluer".
Vivre en conscience c’est la joie d'ouvrir à ses blessures la guérison, la joie de découvrir en ses oppositions l'harmonisation, et d'ouvrir à cette partie de soi: "VIVRE".
Osez donc l’intégrité d’être vrai avec les choix à faire, l’intégrité d’être vrai avec soi, l’autre, et les autres… osez lâcher les artifices et être vous-même : une personne dans la pleine acceptation de la vie, de sa Vie.
Comprendre qu’il n’y a ni coupable, ni innocent : que vous êtes dans un apprentissage lorsque vous vivez une difficulté où le malaise s’invite à la situation malgré vous et est là pour vous faire comprendre que vous êtes en train de craindre une situation présente, une situation à venir ou une personne.
Apprendre à s'aimer même lorsque vous désaimez :
• une partie de vous,
• quelqu’un,
• une situation.
À ce moment-là, vous êtes dans une difficulté qui limite votre capacité d’aimer parce que cette partie-là de vous est prise par « des jugements, des peurs…» alors que pour votre être, par votre présence en agrandissant votre capacité d’aimer ; cette difficulté peut vous révéler votre limitation dans ce que vous vivez.
Vous pensez que c’est l’autre ou la situation qui déclenche cette difficulté alors que c’est vous qui êtes en difficulté avec cette personne, avec la-dite situation.
Inconsciemment vous rejetez « la faute, votre difficulté » à l’extérieur de vous, sur l’autre, la situation. En la rejetant à l’extérieur cela ne vous permet pas de la voir, oui elle n’est plus vue, elle n’est pas résolue pour autant. Ce malaise vous encombre et alourdit votre extérieur. L’attitude que vous déclenchez à cette difficulté vous encombre, vous « alourdit », se glisse entre vous et la personne, entre vous et la situation. Et dénature celle-ci.
Vous avez la capacité pour résoudre cette difficulté et vous dépasser.
Acceptez de vous voir comme une personne en cours de compréhension, en découverte de sa personnalité, que l’autre vous voit comme cela et voir l’autre comme cela. L'autre n'est pas responsable de comment vous êtes, comme vous n'êtes pas responsable de comment est l'autre.
Chaque instant qui s'ouvre à vous, vivez le comme "spécial" ; il apporte la joie, le bonheur d'être vivante, vivant, le bonheur de vivre dans ce monde, de conscientiser de faire partie de cette Humanité, de pouvoir rencontrer ses résistances pour les transformer.
La joie du partage, la joie de s'ouvrir à ses blessures, les guérir ; la joie de modifier ses regards trompés et trompeurs, ses joies surfaites.
À chaque difficulté : accepter de vous ouvrir à plus de compréhension, d'oser être de plus en plus vous-même.
Cela demande l'intégrité d'être vrai(e) dans ses choix, avec soi.
Cela demande l'intégrité d'être vrai(e) avec l'autre, avec les autres.
Ni bonne, ni mauvaise personne, une personne en cours d'évolution qui accepte de rencontrer :
• ses faux-semblants,
• ses constructions,
• d'oser se remettre en question
pour comprendre que s'accorder à sa difficulté : c'est grandir en conscience car il y a rencontre en son intériorité pour la vivre en son extérieur en étant serein, sereine, en réajustant sa compréhension que la Vie est une "alliée", la vie est partie intégrante de vous, que la vie est partie intégrante de chaque personne.
Personne ne nous a appris qu’en réalité nous sommes un «ÊTRE » continuant d’apprendre de lui, de la Vie, des autres et que s’il y a résistance avec ce que nous sommes en train de vivre, c’est pour apprendre à ne plus désaimer son entourage et pour que notre entourage apprenne aussi à nous découvrir.
Chacun, chacune à : à ouvrir son cœur, apprendre à aimer, apprendre à aimer ce que nous découvrons de nous, de l'autre, des autres.
La Vie est simple,
C'est parce qu'il y a difficulté dans notre quotidien que nous le refusons, sans le savoir nous nous coupons des autres, du monde extérieur, de la partie de nous « faible »
Alors que chacun, chacune détiens le possible de vivre le paradis sur Terre, en son être car ce paradis naît de notre décision de vivre en paix, de faire la paix avec nos guerres.
Vivre chaque instant dans la joie, la paix, la sérénité d'une transformation de l'ancien en de nouveaux possibles.
La Vie nous offre ce qu'elle a de plus précieux : une partie de nous-mêmes.
C'est chacun, chacune qui limite ce que la vie nous offre par peur d'être soi-même face aux autres, sans savoir que nous nous limitons dans notre mise en action, dans la présence à ce que nous vivons.
À chacune, chacun de faire de sa journée, de son instant un astre plutôt qu’un désastre.
Joyeuse journée dans la magie de vos différents instants, dans la magie de la Vie.
Dans la continu'action du Renouveau : Dolorès Soleymieux